Notre ADN
Qu'est-ce qu'une pelle a à voir avec 📖 le storytelling d'une agence de conseil en communication❔
Tout.
Nombreux sont nos clients qui viennent du monde de la technologie B2B, où bien souvent, l'enthousiasme est à son comble après avoir créé des innovations telles que l'amélioration de l'efficacité du couple de rotation d'un dispositif de mémoire.
Si ce type d'histoires revêt une grande importance pour les utilisateurs d'une technologie donnée, elles n'intéressent généralement pas les journalistes des publications économiques et autres médias grand public.
C'est là qu'intervient "la pelle".
Nous pensons qu’une histoire est toujours à portée de main, mais qu’elle n'arrive pas pour autant sur un plateau d’argent.
Au contraire, le processus de recherche de ces récits peut s'apparenter à une véritable fouille.
Il faut creuser, creuser et parfois encore creuser. Une agence de relations presse classique sous-estime bien souvent l'expertise nécessaire à cette forme de découverte, les techniques d'entretien, la recherche, la logique de connexion de ces points d’information et cette qualité scientifique appelée persévérance.
En revanche, nous avons mis au point un programme de formation et une méthodologie qui guident spécifiquement nos équipes dans ce processus de découverte. Souvent, vous allez du point A au point B, puis au point C, ce qui vous amène finalement au point D, où se trouvent les bonnes informations.
Cette présentation vous montre notre manière de trouver des histoires qui alimentent les campagnes de communications de nos clients.
Notre vision du storytelling
Le concept de storytelling est en vogue depuis plusieurs années dans le secteur de la communication. Toutes les agences en activité vantent aujourd'hui leurs compétences en matière de narration.
Pourtant, il y a un détail dont personne ne parle. Lorsqu'il s'agit de communication d'entreprise, le storytelling selon sa définition classique - un récit avec un début, une fin et quelque chose qui se passe terriblement mal entre les deux - ne peut généralement pas être appliqué.
Qu'il s'agisse d'une présentation à un journaliste ou de la création de contenu pour leur propre média, l'insertion de l'échec dans un récit n'est pas vraiment un acte naturel pour les entreprises. Voulez-vous vraiment aborder les aspects négatifs ? Chez Hoffman, nous pensons que non.
Pourtant, s’il s’agit de choisir entre un récit ennuyeux ou un récit intéressant,
les gens opteront à chaque fois pour celui qui est considéré comme intéressant .
Voici la genèse de ce que nous appelons le tableau périodique du storytelling d'entreprise, il s'agit essentiellement de notre méthodologie pour intégrer de la narration au sein de la création de contenu.
Il y a plusieurs années, nous nous sommes lancés dans l’analyse approfondie d’une série d'articles parus dans des publications professionnelles afin de comprendre comment les journalistes rédigent leurs articles. C'est ainsi que nous avons développé notre méthodologie autour de la création de storytelling, et, en fin de compte, le tableau périodique du storytelling d'entreprise.
Il y a une raison pour laquelle ces techniques s’avèrent particulièrement efficaces dans les relations avec les médias. En élaborant des contenus et argumentaires, à l’aide, par exemple, de contrastes et d’anecdotes, nous nous alignons avec la méthode de construction narrative des journalistes.
Regardons de plus près le contraste en tant que technique narrative. Comme nous l'avons souligné précédemment, une narration classique où quelque chose se passe mal à ses limites. À quand remonte la dernière fois où vous avez entendu un PDG déclarer :
« Très bien, tirons parti de nos échecs dans notre programme de relations publiques pour le trimestre à venir ! » ?
Pourtant, l'échec est en réalité une histoire de contraste - échec contre succès – qui résonne pour les entreprises.
L’ancienne méthode ou la nouvelle.
Avant ou après.
Avec ou sans.
Tous ces éléments apportent du contraste et donnent du caractère au contenu. Et plus il y a de contraste, plus le récit gagne en tension et en intensité.
Tournons notre attention vers le second exemple significatif, celui d’une anecdote humble :
Les dirigeants perçoivent souvent les anecdotes comme de la poudre aux yeux et mettent le holà sur ce type de contenus avant même qu'ils ne voient le jour. Pourtant, les journalistes, maîtres de la narration industrielle, ont érigé l'utilisation du contenu anecdotique au rang d'art. Si l'on décompose les articles de fond par type de contenu, nos recherches montrent que 14 à 23 % sont anecdotiques . C'est pourquoi nous mettons l'accent sur les anecdotes lorsque nous élaborons du contenu pour nos clients.
Revenons à la vision dans son ensemble —
Notre tableau périodique du storytelling fournit un processus reproductible pour développer un contenu qui touche le public cible. Nous avons débuté en affirmant : « Une histoire est toujours à portée de main. »
Ce que nous voulons dire en réalité, c'est
« Il y a toujours des angles intéressants. »
Mike Butcher, rédacteur chez TechCrunch, résume bien ce concept : « « L'homme qui a mordu le chien » est bien plus intéressant que « le chien qui a mordu l'homme ».
Pour approfondir notre vision du storytelling, consultez notre livre on the quest for conversational language, humanity and other ways to add oomph to content.
Attention spoiler, il vaut mieux être courageux.